On se demande encore si le Brexit sera hard ou soft. Ce qui est sûr, c’est qu’il sera compliqué.
On nous avait dit que ce serait un drame, d’autres une bénédiction. Après le résultat du Référendum, la bourse plonge, puis se remet. La Livre, elle, ne s’est pas rétablie : elle a perdu 18 % depuis, son niveau le plus bas par rapport au dollar depuis plus de trente ans.
Alors la nervosité gagne, car les dossiers décisifs apparaissent. Ce sont les migrants, ce sont les banques. Pour les migrants, le blocage paraît important. Pour les banques, chacun essaie de les attirer : Francfort, Paris et New York. Les entreprises s’interrogent et le Chancelier de l’échiquier propose de passer le taux d’impôt à 10 %, pour les garder ! Qu’on se le dise : le ton monte !