27 août : la Banque Centrale Américaine devient trotskyste !
Qu’est-il donc arrivé ce 27 août à Jerome Powell, le Président de la Banque Centrale Américaine (la Fed), lui qui est pourtant considéré comme un Républicain modéré ?
Entrez votre adresse e-mail et recevez tous les dimanches la newsletter de Jean-Paul Betbeze
Qu’est-il donc arrivé ce 27 août à Jerome Powell, le Président de la Banque Centrale Américaine (la Fed), lui qui est pourtant considéré comme un Républicain modéré ?
Sorti grand gagnant de son procès en impeachment, sa politique libérale, protectionniste et de baisse des impôts continue à stimuler la croissance américaine. Les marchés achètent cette politique très fortement, les concurrents démocrates à l’élection américaine devront être très convaincants.
Pour répondre, il faut d’abord savoir si l’humour, chez les politiques, est sain ou inquiétant. Tout dépend de l’écart qu’il manifeste avec la réalité.
Alors que le Budget 2020 de la France a été officialisé, on se rend compte que celui-ci manque d’envergure et de vision. Ce budget politique visant avant tout à calmer les ardeurs post gilets jaunes est un budget raté
Après le rejet de sa prorogation par la cour suprême, le premier ministre de Grande Bretagne Boris Johnson est dans une impasse. Cette impasse est ce que le philosophe politique Alexis de Tocqueville théorisait au XIXème siècle : le piège de Tocqueville naît du parlementarisme qui crée un écart entre la volonté populaire (le référendum) et les parlementaires qui ne peuvent à quelques centaines représenter fidèlement des millions de pensées.
Le Zoom de Jean-Paul Betbeze
05 Septembre 2019
Trump, un président du Dow Jones qui est devenu président des Etats-Unis est prêt à tout pour avoir encore et toujours plus de croissance et garantir sa réélection.
Donald Trump veut prendre contrôle de la FED…
Pour répondre : « non ».
La « confluence des luttes » de Jean-Luc Mélenchon est en fait celle des générations. Les jeunes manifestent, les séniors aussi : la crise est celle du futur. Les jeunes n’arrivent pas à se projeter dans les quarante prochaines années. Les quadras ne voient pas bien les vingt qui les mèneront à la retraite, et après, quelle retraite ? Nous vivons, par les deux bouts, jeunes et « vieux », la remise en cause de la promesse d’après-guerre : la génération qui vient vivra mieux que celles qui ont précédé.