Exclusif : Donald Trump nous explique son retour dans un an !

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 Exclusif : Donald Trump nous explique son retour dans un an !

La Newsletter : grâce à Skype, nous avons pu discuter avec Donald Trump, entre ses rendez-vous, avec politiques, businessmen et donateurs. A Mar-a-Lago, l’ancien Président est (un peu) plus détendu, mais il n’a rien perdu de sa pugnacité. Jugez-en !

La Newsletter : Merci Président de nous recevoir : vous nous avez annoncé une grande nouvelle ?

Président Donald Trump : Oui ! Je ne suis pas mort, même si ces bandits de Facebook et de Twitter ont essayé de me couper des américains. La nouvelle, c’est que je reviens presque au pouvoir dans un an !

L N : Mais comment ? Le Président, la Chambre des Représentants et le Sénat sont Démocrates. Et pourquoi ce « presque » ?

P DT : Mais non ! Le Président flageole, il est gentillet dans ce monde de brutes – le mien. Le Sénat ? Il est à 50-50, avec deux sénateurs dits Démocrates qui ne suivent pas Biden quand il désire monter ses impôts. Ils veulent bien, mais si peu que ça n’aura aucun effet économique positif, mais très mauvais en politique. Et quand Biden lance ses programmes d’infrastructures, ces deux-là veulent moins de dépenses, et rien de son programme social ! Des Démocrates pareils, j’embauche ! Et la Chambre des Représentants ? Une petite majorité que je vais renverser en me présentant l’an prochain !

L N : A un poste de Représentant ! Vous, l’ancien Président ?

P DT : Mais, c’est pour le redevenir !

L N : Quoi ?

P DT : J’explique. Un, je me présente dans le Wyoming, bastion républicain, où je fais virer cette traîtresse de Liz Cheney. Pas de risque : elle a eu 68% des voix ! D’autres comtés vont changer : je mets partout une pression d’enfer. Alors je suis élu à la Chambre, et on y a la majorité !

L N : Et après ?

P DT : Et après, je me présente contre Pelosi, je suis élu, et me voilà deuxième responsable politique du pays, derrière Biden ! Et on aura aussi le Sénat ! Alors, Biden pourra faire tous ses discours plaintifs, mais plus aucun de ses textes ne passera !

L N : Et les entreprises qui le soutenaient ?

P DT : Oubliez ! Elles vont vite comprendre que le vent a tourné : Biden veut les taxer plus, les surveiller plus et augmenter les salaires ! Il est cuit et les Démocrates de gauche, des communistes, vont le lâcher quand ils verront qu’ils n’ont pas ce qu’ils veulent.

L N : Mais quand même, les juges de New York sont à vos trousses, vous n’auriez pas payé d’impôts et trafiqué les comptes ?

P DT : Tous des Démocrates ! Vous savez, avec la justice américaine, il ne s’agit pas de savoir ce que dit la loi, mais qui est le juge.

L N : Mais c’est terrible !

P DT : Mais c’est comme ça ! Vous avez vu comment les sénateurs démocrates du Congrès sont tombés dans le panneau, quand ils ont voulu me mettre en Impeachment après les émeutes du 6 janvier contre le Capitole : je n’étais plus Président, donc ils ne pouvaient plus rien ! Et vous verrez que s’ils arrivent à trouver quelque chose contre moi je vais leur pourrir la vie, en disant partout que je reviens, que je suis presque là ! Et vous voyez comment, dans les états que nous tenons, nous limitons les votes physiques et surtout par correspondance.

L N : Mais si Biden ne peut mettre en place son programme et s’il prend peur de vous, les alliés des Américains vont s’inquiéter et la Chine et la Russie s’enhardir, avant votre retour.

P DT : Ça m’aidera : plus on verra que Biden est mou par rapport à Xi et à Poutine, qu’il met lui-même en avant, mieux c’est pour moi.

L N : Sauf s’ils en font trop, surtout avec Taïwan.

P DT : Ils ne le feront pas. Ils ont repris Hong Kong sans problème, ils continuent leur génocide lent des Ouighours et la déglutition du Tibet. Taïwan, c’est leur paravent du pire.

L N : Et quand vous serez au pouvoir ?

P DT : Je les ruinerai ! Le tiers des crédits de leurs banques publiques à leurs entreprises, publiques, est pourri, alors ils en font davantage – pour les cacher ! Et avec le virus chinois, deux tiers de leurs crédits aux pays émergents, dans leurs « routes de la soie », le sont aussi. Les routes de la faillite ! Ils ont été obligés d’arrêter ces crédits, eux qui voulaient séduire l’Europe et nous étrangler !

L N : Donc cette montée des risques autour de Taïwan…

P DT : C’est pour tester Biden et occuper la scène, pendant qu’ils « normalisent » ailleurs. Ils n’obéissent qu’aux rapports de force d’homme à homme, pas au multilatéralisme.

L N : Et l’Europe ?

P DT : Eux c’est eux, moi c’est MAGA.

L N : Merci : vous avez bien raison de prévenir !

P DT : A bientôt !