Toc, toc ! Qui est-ce ? C’est l’inflation
Les prix ont monté de 0,9% en zone euro sur un an en janvier. Nous ne sommes plus à -0,3%, comme en décembre ! Mais en France, c’est 0,4% en février
Entrez votre adresse e-mail et recevez tous les dimanches la newsletter de Jean-Paul Betbeze
Les prix ont monté de 0,9% en zone euro sur un an en janvier. Nous ne sommes plus à -0,3%, comme en décembre ! Mais en France, c’est 0,4% en février
Je viens de lire le dernier rapport sur les retraites en France à l’horizon 2070. Vous voulez concurrencer Mathusalem ?
Le mot profit est tabou en France. S’il peut certes y avoir des questions de répartition de celui-ci, la plupart des critiques qu’on lui porte viennent du fait qu’il n’y en a, en réalité, pas assez!
Bien sûr, le profit des entreprises ne tue pas le COVID-19 : il aide à soutenir l’activité, l’emploi et à mieux repartir. Ce n’est pas si mal. Bien sûr, le virus ne lit pas non plus les bilans des entreprises pour attaquer ici ou là. Mais quand les profits sont faibles…
Emmanuel Macron : Donald, ce virus nous mène tous au désastre !
Donald Trump : Mais non, ce virus chinois est une arme qui va se retourner contre eux !
Le COVID-19 profite aux complotistes? aux financiers? aux économies? aux banques centrales? aux industries pharmaceutiques? aux USA? posons la question aux experts
Les épargnants français sont-ils bipolaires ? Soit ils on peur et ils épargnent sous forme de livret A ou bons du trésor parfois rémunérés négativement, soit ils ont moins peur et prennent des risques beaucoup plus élevés mais avec des taux de retour sur investissement intéressants.
Au troisième trimestre 2017, le taux de marge des sociétés non financières (SNF) est stable en France, à 31,7 %.
La reprise se met en place en ce début d’année 2015, selon les comptes révisés de l’Insee. Il ne s’agit pas seulement de la croissance de la consommation des ménages, il s’agit aussi d’une remontée un peu plus forte de l’investissement des entreprises.
François Hollande les annonce, Manuel Valls les présente, Emmanuel Macron les calcule : voici la nouvelle série de mesures (on ne parle plus de loi Macron II, pour n’exciter personne) pour relancer l’investissement privé (classique) et soutenir le numérique (moderne). C’est obligatoire, mieux engagé… et surtout « facile ».