Chômage des jeunes : le trio infernal français
En France, c’est le trio infernal : chômage élevé pour tous, plus du double pour les jeunes et résistant aux mesures destinées à le réduire, malgré l’amélioration économique. Pourquoi ?
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En France, c’est le trio infernal : chômage élevé pour tous, plus du double pour les jeunes et résistant aux mesures destinées à le réduire, malgré l’amélioration économique. Pourquoi ?
26 mai : 69 députés verts au Parlement européen. 23 mai : la Société du Grand Paris émet sa troisième obligation verte d’un milliard d’euros, à échéance du 25 mai 2050. Ce même jour, lors du 1er conseil de défense écologique, Edouard Philippe annonce la création de « France Transition Ecologique ». Il s’agit de réunir des financiers publics pour créer un « Plan Junker vert français » et faire effet de levier sur les financements privés. Objectif : 10 milliards d’euros.
Samedi 18 mai, 200 millions de téléspectateurs suivent la finale de l’Eurovision de la chanson. Une semaine plus tard, 420 millions d’Européens sont appelés à voter. Aucun rapport ? Malheureusement oui.
Le Président Trump ne cesse de faire monter la pression sur l’Iran, au risque d’une rupture violente.
Vouloir que l’euro prenne bien plus de place dans les échanges internationaux ou se mette à être l’unité de compte du pétrole ou des avions est un doux rêve, face aux rapports de force mondiaux qui se tendent.
Avant c’était le bon temps : 8% de croissance par an pour les pays émergents, 3% pour les industrialisés. A cette époque chacun avait sa vitesse, ce qui devait permettre à la longue aux « émergents » de rattraper « les industrialisés ».
Celui qui se dit économiste parle certes d’économie, mais surtout de politique. Il juge et critique, principalement le gouvernement et les pouvoirs en place.
L’heure est aux recherches sur les causes, aux analyses et aux expertises. Elle est surtout au recueillement et à la reconstruction.
Theresa May (Premier ministre du Royaume-Uni) : Merci Docteur, de me recevoir si vite !
Sigmund Freud : Je n’oublie pas que vous m’avez accueilli !
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Nous sommes ici pour comprendre ce qui se passe et surtout faire des propositions. Le temps presse. Alors débattons !