2 mai, 2019
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Le dieu dollar est en danger
Le dollar est en danger, notamment par la montée de la Chine…
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Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Le dollar est en danger, notamment par la montée de la Chine…
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Le populisme est devenu un plat mondial. De nombreux pays l’ont à la carte, avec quatre ingrédients communs, plus des adaptations locales.
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
2019 : c’est le choix de l’embarras. A priori, l’avenir est gris foncé partout, avec du jaune venant de France. Nous assistons au combat entre États-Unis et Chine, pour faire baisser les taxes à l’importation en Chine et y surveiller les droits américains de propriété, faire circuler les bateaux US en mer de Chine, mais bloquer les « routes de la soie » chinoises en Afrique. Derrière ces poids lourds, il y a les tensions autour de la Russie, de l’Iran, d’Israël, de l’Arabie saoudite, de la Turquie… Partout les ramifications des chocs se font ressentir, ravivant d’antiques blessures. Le Brexit fait renaître des inquiétudes en Irlande, des demandes d’autonomie en Ecosse et des revendications espagnoles sur Gibraltar. Aujourd’hui, difficile de trouver un pays ou une région paisible !
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Donald Trump ne dit pas tout ce qu’il veut faire, y compris avec la Chine.
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
La « confluence des luttes » de Jean-Luc Mélenchon est en fait celle des générations. Les jeunes manifestent, les séniors aussi : la crise est celle du futur. Les jeunes n’arrivent pas à se projeter dans les quarante prochaines années. Les quadras ne voient pas bien les vingt qui les mèneront à la retraite, et après, quelle retraite ? Nous vivons, par les deux bouts, jeunes et « vieux », la remise en cause de la promesse d’après-guerre : la génération qui vient vivra mieux que celles qui ont précédé.
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Une crise est-elle en train de se préparer en Italie ?
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
A perfect storm, disent les Américains. C’est ce qui se passe quand, brutalement, le temps se couvre et que survient une crise majeure. Aujourd’hui, elle n’est « que » monétaire et financière et ne frappe « que » certains pays émergents.
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Ce serait ridicule, si ce n’était tragique. Voilà dix ans que la Great Recession américaine est officiellement finie : décembre 2007 – juin 2009. Nous avons vécu une crise très sévère, financière (la pire espèce) et mondiale (par contagion). Pourtant, plus le temps passe, plus le diagnostic de ce qui nous est arrivé se complique, et qu’on parle de séquelles.
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
3 mai 2018 : 1 100 économistes, dont 14 Prix Nobel, écrivent une lettre au Président Trump et au Congrès pour les avertir du risque majeur qu’est, pour eux, la montée des droits de douane et du protectionnisme – autrement dit la politique de Donald Trump. Ils se réfèrent, dans leur lettre, à une autre, envoyée en 1930 par 1 028 économistes. Ils alertaient alors sur les risques des hausses de tarifs douaniers que comportait le Smoot-Hawley Act. Pas écoutés, une bataille des échanges en résulta. Elle réduisit les échanges internationaux, la croissance, et ce fut 1929.
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Oui, mais pas seulement. Oui, devant eux, face à ce futur qu’ils ignorent, comme nous tous, ils plantent des repères, des marques, des signes, des chiffres ronds en général, entre totem et tabou. Ils craignent aussi des jours fatidiques : le vendredi 13 bien sûr, mais aussi les anniversaires des grands krachs boursiers (jeudi noir du 24 octobre 1929 ou 6 octobre 2008 des subprimes), sans oublier les « quatre sorcières », troisièmes vendredi des mois de mars, juin, septembre et décembre, où se soldent les grands contrats financiers à terme sur la Bourse de New York. Bref, la forêt financière est noire et hantée, et il faut y avancer !