26 avril, 2015
Ecrit par Jean-Paul Betbeze
Si Draghi réussit, les banques et les assurances vont beaucoup souffrir, sauf…
Sauf si on change les règles dites « de prudence » auxquelles banques et assurances doivent obéir, précisément à la suite de la crise dont on sort ! Autrement nous replongerons, dans un an et demi. Nous vivons en effet une terrible contre-indication : ce qui devait protéger les banques et les assurances des risques, et nous avec, peut les faire beaucoup souffrir, et nous avec, si la médecine actuelle de la BCE continue. Et elle va continuer. Quel est donc cet engrenage diabolique ? Et comment en sortir ?