Les chiffres de croissance du deuxième trimestre françsais : 0,5 % viennent d'une conjonction de bonnes nouvelles : la consommation "tient", grâce à la désinflation, les stocks continuent de se regonfler, le commerce extérieur ne pèse plus sur la croissance, mais plus profondément, il y a un aspect volontaire de la part des entreprises. Les patrons ont dit : nous devons agir, nous ne pouvons plus laisser filer l'activité.Maintenant, il faut consolider - et donc surtout ne pas affaiblir cette reprise par plus de fiscalité. C'est la question de la rentrée.
BFM Business