Ces Romains bien sûr. Ils mettent en difficulté l’économie italienne, et plus profondément la zone euro, pour des raisons « économiques » bien sûr (l’opposition farouche à une hausse de la TVA de 1% par M. Berlusconi) ou plutôt personnelles (venant du même M. Berlusconi). Nous verrons bien le résultat, mais la montée des populismes menace directement la construction européenne, au moment où les choses commençaient à peine à s’améliorer. Donc les taux de la dette italienne remontent. Donc l’économie risque de replonger, avec des banques qui seront plus à la peine pour financer les PME. Au fond, derrière ces tensions politiques, monte un choix plus profond entre pro et anti euro...
Deloitte